mercredi 15 décembre 2010

La journée internationale de la solidarité humaine

La solidarité est un concept qui unit les personnes et les fait se confronter aux problèmes des autres. Les problèmes qui se posent à une personne affectent dès lors aux autres personnes solidaires. Cette idée unit en quelque sorte tous les habitants de la planète et les pousse à trouver ensemble des solutions aux problèmes. Cela aide à agir avant qu’il ne soit trop tard.

Qu’est-ce que la solidarité?
La solidarité est un sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque qui pousse les Hommes à s'aider mutuellement : " un pour tous, tous pour un ". Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs des membres d'une Communauté concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c'est l'avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis.
La solidarité humaine est un lien fraternel qui fait prendre conscience que tous les Hommes appartiennent à une même Communauté d'intérêt : "Nous sommes embarqués dans le même bateau".[3]
La solidarité est au cœur de la mission et des projets de plusieurs organisations non-gouvernementales (ONG) et organismes communautaires. Ils aident à faire germer et à bâtir la solidarité entre les humains partout dans le monde. [2]

L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé qu’à partir de l’année 2006, le 20 décembre correspond à la journée internationale de la solidarité humaine afin de faire prendre conscience de l’importance de la solidarité en vue d’éradiquer la pauvreté. [2]
La Journée internationale de la solidarité humaine met en lumière le fait qu’il est important d’agir de concert en faveur des personnes les plus vulnérables de la société.
On trouve dans la Déclaration du Millénaire l’une des expressions les plus profondes de ce principe, dans laquelle les États Membres de l’Organisation des Nations Unies considèrent la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales qui doivent sous-tendre les relations internationales au XXIe siècle.[1] Elle doit être mise à l’avant-plan et vécue entre les peuples car elle est essentielle aux relations internationales.

La journée internationale de la solidarité humaine est…
• Une journée pour célébrer notre unité dans la diversité
• Une journée pour rappeler à nos gouvernements de respecter leurs engagements internationaux
• Une journée pour sensibiliser la population à l’importance de la solidarité
• Une journée de discussion et de concertation sur les objectifs du millénaire pour le développement et sur les moyens à prendre pour atteindre ces objectifs
• Une journée qui encourage l’action de solidarité pour réduire la pauvreté [2]

La Déclaration du Millénaire énonce en effet que « les problèmes mondiaux doivent être gérés multilatéralement et de telle façon que les coûts et les charges soient justement répartis conformément aux principes fondamentaux de l’équité et de la justice sociale. Ceux qui souffrent ou qui sont particulièrement défavorisés méritent une aide de la part des privilégiés ». La Déclaration définit également une série d’objectifs connus sous le nom d’« Objectifs du Millénaire pour le développement » –feuille de route assortie de délais et axée sur des objectifs précis, visant à réduire la pauvreté, la faim et la dégradation de l’environnement et à améliorer la santé et l’accès à l’éducation. [1]

Cette journée fait comprendre au monde les problèmes de notre planète et la nécessité d’essayer de faire d’elle un monde meilleur. Mettons de coté nos rivalités et unissons-nous pour aider les démunis et améliorer notre planète Terre. Ne leur tournons pas le dos!

Bibliographie nº1 :
Titre de l’article : journée internationale de la solidarité humaine: pour réduire les disparités entre pays, ban ki-moon demande aux nations et aux individus de « tendre la main » aux moins favorisés
Auteur: Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York
Consultation: 15/12/10
Disponible: http://www.pfcmc.com/News/fr-press/docs/2010/SGSM13314.doc.htm

Bibliographie nº2:
Titre de l’article : Journée internationale de la solidarité humaine / Description de la journée
Auteur : RÉSEAU IN-TERRE-ACTIF
Consultation: 15/12/10
Disponible: http://www.in-terre-actif.com/262

Bibliographie nº3:
Titre de l’article : 20 Décembre 2009 : Journée Internationale de la Solidarité Humaine.(1)
Auteur : Atelier des médias
Consultation: 15/12/10
Disponible: http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/20-decembre-2009-journee

Bibliographie de la photo :
Titre de la photo : La journée international de al solidarité
Consultation : 15/12/10
Disponible : http://www.google.es/images?q=Journ%C3%A9e+internationale+solidarit%C3%A9+humaine&rls=com.microsoft:es-es:IE-SearchBox&oe=UTF-8&rlz=1I7GGLL_es&redir_esc=&um=1&ie=UTF-8&source=og&sa=N&hl=es&tab=wi&biw=1259&bih=839

mardi 14 décembre 2010

20 Décembre: Journée Internationale de la Solidarité Humaine


La solidarité est une idée qui unit le peuple et transforme le monde. Grâce à la solidarité on peut atteindre les intérêts nationaux. C’est un sentiment commun à beaucoup de personnes avec lequel on peut combattre les inégalités de notre planète. La solidarité peut !
Toutes les cinq secondes, un enfant meurt de faim, alors que la planète produit, chaque année, suffisamment de quoi nourrir 12 milliards de personnes, soit le double de la population mondiale. En ouverture de la commémoration de la Journée internationale de la solidarité humaine fixée au 20 décembre, le Président du Conseil économique et social (ECOSOC), M. Ali Hachani de la Tunisie, a engagé la communauté internationale à contribuer au Fonds mondial de solidarité. Il a ajouté que la pauvreté est l’une des violations les plus graves des droits de l’homme.

L’amélioration du sort d’un milliard de personnes dans le monde qui vivent dans l’extrême pauvreté et luttent pour leur survie avec moins d’un dollar par jour est de notre responsabilité à tous, a convenu la Présidente de l’Assemblée générale, Sheikha Haya Rashed Al Khalifa. Nous reconnaissons, aujourd’hui, lors de cette commémoration, que la solidarité internationale est une valeur commune qui nous unit dans nos efforts de réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). (1)

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.
La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, a-t-il voulu, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Le concept de solidarité est au cœur de notre humanité commune, a renchéri le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, José Antonio Ocampo, ainsi qu’au cœur de l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement. La plupart des outils dont nous disposons pour lutter contre la pauvreté et pour faire de la mondialisation une force positive pour tous sont motivés par la solidarité. (2)

L'Organisation des Nations unies a décrété le 20 décembre Journée Internationale de la Solidarité Humaine pour attirer l'attention sur l'importance de la solidarité dans la résolution des problèmes mondiaux à savoir la faim, la pauvreté,le sida,les guerres, les changements climatiques etc ... "Quand la case de ton voisin brûle, aide le à éteindre le feu sinon ta case risque de subir le même sort". (3)


La solidarité peut transformer le monde. (2)

Donc avec un peu d'effort que nous faisons on peut atteindre tous les objectifs pour améliorer notre planète. La solidarité n'est pas donner ce qui me reste est de donner ce dont j'ai besoin.

(1)Bibliographie nº1
Titre du site: Conseil économique et social
Consultation: 14/12/10
Titre du site : Buddhachannel
Consultation: 14/12/10
Disponible: http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153


(3) Bibliographie nº3
Titre du site : Atelier des médias
Consultation: 14/12/10


Bibliographie photo:
Titre: Journée mondiale de la solidarité
Consultation: 15/12/10

lundi 29 novembre 2010

Journée mondiale pour le climat: Dimanche 10/10/10



Quel est l'objectif de ce dimanche 10/10/10 ? ...
1. Donner un visage humain aux problèmes environnementaux; (2)
2. Amener les peuples à devenir les agents actifs du développement durable et équitable;
3. Promouvoir la compréhension du fait que les communautés sont incontournables dans les changements d'attitudes en ce qui concerne les problèmes environnementaux;
4. Défendre le partenariat qui assurera à toutes les nations et les peuples d'apprécier un futur plus sûr et plus prospère.
5. Pousser les Etats à agir plus vite et plus fort contre le changement climatique : à l'occasion de la Journée mondiale du Climat, le 10 octobre 2010 donc, des milliers de citoyens vont multiplier les petits gestes pour donner l'exemple à leurs dirigeants.

(1)Cette journée baptisée "10/10/10" met un point d’orgue à une semaine de négociations à Tianjin (Chine), où les délégués de plus de 170 pays ont tenté de relancer un processus mal en point depuis la conférence de Copenhague et éviter d'arriver démuni à Cancun (Mexique), où la rencontre mondiale des spécialistes doit se tenir en décembre.
180 pays se mobilisent autour de quelque 7000 événements
Quelque 7.000 événements sont annoncés dans plus de 180 pays, jusque dans l'est de République démocratique du Congo où des personnes déplacées vont planter une « forêt de l'espoir » près de Goma. Le président des Maldives, Mohamed Nasheed, a pour sa part choisi d'installer cette semaine des panneaux solaires sur son toit, et des étudiants
irakiens de l'université de Babylone ont prévu de l'imiter dimanche.
La Chine -premier pays émetteur de gaz à effet de serre- et les Etats-Unis, autre grand pollueur de la planète semblent se sentir impliqués : plus de 30.000 étudiants chinois vont participer à ce qui est déjà présenté comme « un événement sans précédent dans l'histoire » du pays ... A Pékin, par exemple, des jeunes vont courir autour de la ville pour collecter des ordures que des artistes vont ensuite sculpter. Et, aux Etats-Unis, plus de
1.200 activités sont prévues, comme le nettoyage des cours d'eau ou des ateliers pour aider les gens à rendre leurs logements plus écologiques.
Voici quelques idées intéressantes:
L’automne est la saison idéale pour préparer notre environnement en vue de l’hiver et pour planter des arbres;
Votre refuge local pour les sans-abri pourrait bénéficier de la modernisation de ses systèmes énergétiques ou simplement avoir besoin d’un coup de main aux cuisines avec un plat végétarien ou préparé localement;
Vous pouvez aider à installer des panneaux solaires, remplacer les ampoules conventionnelles d’un édifice par des ampoules fluorescentes, offrir un service de livraison à vélo ou communiquer avec votre mouvement transitionnel local et leur proposer un coup de main.

Bibliographie nº 1 :
Nom de l'article : RFI
Titre de l’article : Un dimanche dédié au geste citoyen en faveur du climat
Consultation : 29/11/10
Disponible : http://www.rfi.fr/science/20101008-dimanche-dedie-geste-citoyen-faveur-climat

Bibliographie nº 2 :
Nom de l'article: Journée mondiale de l’environnement 2009
Titre de l’article : A propos de la JME
Consultation : 29/11/10
Disponible : http://www.unep.org/wed/2009/french/content/about.asp

Bibliographie nº3 :
Nom de l'article : Parti vert du Canada
Titre de l’article : 10-10-10 : Journée internationale d’action contre le changement
Consultation : 29/11/10
Disponible : http://greenparty.ca/fr/node/15589

Bibliographie de la photo :
Titre : cœur terre
Consultation : 29/11/10
Disponible : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://www.codes45.org/wp-content/uploads/2009/05/coeurterre.jpg&imgrefurl=http://www.codes45.org/2009/05/&usg=__0SoH7aohf39cfwZ9xqHBPc5uTwI=&h=359&w=480&sz=27&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=lSsqr6dM_13mlM:&tbnh=126&tbnw=168&prev=/images%3Fq%3Djourn%25C3%25A9e%2Bmondiale%2Bcontre%2Ble%2Bchangement%2Bclimatique%26um%3D1%26hl%3Des%26sa%3DN%26biw%3D1276%26bih%3D839%26rlz%3D1R2GGLL_es%26tbs%3Disch:1&um=1&itbs=1&iact=rc&dur=156&ei=yRf0TMqqOY2XOsSg6YEK&oei=yRf0TMqqOY2XOsSg6YEK&esq=1&page=1&ndsp=31&ved=1t:429,r:17,s:0&tx=105&ty=87

Octobre 2010 : Une journée mondiale pour le climat

Des associations écologistes organisent aujourd'hui la Journée mondiale du climat. Nom de code : "10/10/10" (10 octobre 2010). "Cela va être, je pense, la journée d'action citoyenne la plus suivie de l'histoire de la planète", s'est plu à annoncer Bill McKibben, cofondateur du mouvement 350.org, à l'origine de cette journée. L'idée étant que "les gens découragés transforment leur frustration en actions".
Destinée à encouragé les citoyens à multiplier les petits gestes écologiques pour donner l'exemple à leurs dirigeants, cette initiative vise surtout à pousser les Etats à renforcer leurs actions contre le réchauffement climatique. A deux mois de la conférence internationale sur le climat, à Cancun (Mexique, 29 novembre-10 décembre), l'objectif est d'effacer la déception qui avait prévalu l'an dernier, à l'issue du Sommet de Copenhague. (1)

Cette année le choix du 10 octobre correspond à la déclinaison calendaire de la campagne 10:10 qui vise à réduire volontairement ses émissions de gaz à effet de serre de 10% en un an à partir de 2010. (2)

Cette journée baptisée "10:10:10" s’est tenue à la fin de la semaine de négociations sous l’égide de l’ONU qui s’est tenue à Tianjin, en Chine, où les délégués de plus de 170 pays ont tenté de relancer le processus de négociations sur le climat à moins de deux mois du Sommet de Cancun. Des milliers de "petits" gestes se sont multipliés à travers le monde tout au long du dimanche pour pour donner l’exemple aux dirigeants de la planète. Le président des Maldives, pays qui risque de disparaître à terme sous l’effet de la montée des océans, a installé des panneaux solaires sur le toit de sa maison. (3)

(1) Nom de l'article : Metro
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.metrofrance.com/info/journee-mondiale-d-actions-pour-le-climat/mjjj!DC321c2f0P6/

(2) Nom de l'article : Actu-environnement
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.actu-environnement.com/ae/news/journee-mondiale-climat-goodplanet-11139.php4

(3) Nom de l'article : Le journal développement durable
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article7064

Bibliographie de la photo:
Titre: petit geste vert
Consultation: 28/11/10
Disponible: http://www.petitgestevert.ca/wp-content/uploads/2010/03/8_Decembre_Journee_Contre_Changement_Climatique.png

dimanche 14 novembre 2010

La journée sans achat


Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?

Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.

La journée sans achat ou « Buy Nothing Day » (BND) aux États-Unis est une manifestation non-violente de boycott des achats, pour protester contre les gâchis de la société de consommation. Les organisateurs de cette manifestation justifient leur action pour protester contre la société de consommation et ce qu'elle entraîne : dégradation de l'environnement, exploitation des populations ou encore perte des valeurs humaines, emprise de la publicité qui pousse à avoir plutôt que d'être. C’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !


Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.

La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.

On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ?

Au fait, pour fétêt la journée sans achat, n'oubliez pas d'acheter une bonne bouteille... la veille !

Bibliographie nº1 :
Titre : Journée sans achat
Auteur: Wikipédia
Consultation: 14/11/12
Disponible: http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_achat

Bibliographie nº2 :
Titre : 28 novembre : Journée Mondiale Sans Achats

Auteur : Journée Mondiale
Consultation : 14/11/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
Bibliographie de la photo :
Titre : journée sans achat
Consultation : 14/11/12
Disponible : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://www.aboneobio.com/blog/images/NOVEMBRE%25202008/Journee_mondiale_sans_achat2008.gif&imgrefurl=http://www.aboneobio.com/blog/post/2008/11/25/769-journee-mondiale-sans-achat-29-novembre-2008&usg=__8Xp5lXCsGrY2p2sXlsh72Ny3vq4=&h=393&w=336&sz=28&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=D09Bd76nH6nuNM:&tbnh=171&tbnw=146&prev=/images%3Fq%3Djournee%2Bsans%2Bachat%26um%3D1%26hl%3Des%26sa%3DN%26rlz%3D1R2GGLL_es%26biw%3D1259%26bih%3D803%26tbs%3Disch:1&um=1&itbs=1&iact=rc&dur=171&ei=mv7fTILHFYSaOsvGhc0O&oei=mv7fTILHFYSaOsvGhc0O&esq=1&page=1&ndsp=25&ved=1t:429,r:2,s:0&tx=62&ty=92

Toute une journée sans rien acheter


La journée sans achat ou « Buy Nothing Day » (BND) est une manifestation non-violente de boycott des achats, pour protester contre les gâchis de la société de consommation. (1)

Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !Cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur.
La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. (2)

La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées. Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber.La biodiversité s’effondre. La société de consommation engendre un pillage et l’injustice :20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires.Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières.La société de consommation est mortifère, elle réduit l’humain à n’être qu’un agent économique : producteur-consommateur. (3)

(1) Auteur : Wikipedia
Consultation: 14/11/10
Disponible: http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_achat


(2) Auteur: Journée mondiale
Consultation: 14/11/10
Disponible:http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm

(3) Auteur: actionconso
Consultation:14/11/10
Disponible: http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-internationale-sans-achat.html

Bibliographie de la photo :
Titre: Journée sans achat
Consultation: 14/11/10
Disponible: http://images.google.com/imgres?imgurl=https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBKaLnP64nSCa918FjFTne9yP7KrPm4jPiC3hIMNVj-fRCnNlPz1zQBB1vn3fZb-sO4-fIZnFSVJaeRj4p3AULOyLJ9CTH9RlpbIO6l4G2jHMCgUf6P8uQDwlWC4KUR7CCDexoJQY2kY91/s1600/2009jsa.jpg&imgrefurl=http://dijon-ecolo.blogspot.com/2009_11_01_archive.html&usg=__Z3oMKd2syE8ozaBiR0XXpI1ppfY=&h=482&w=400&sz=71&hl=es&start=13&zoom=1&itbs=1&tbnid=aehbdsxr8S8O2M:&tbnh=129&tbnw=107&prev=/images%3Fq%3Djourn%25C3%25A9e%2Bmondiale%2Bsans%2Bachat%26hl%3Des%26tbs%3Disch:1

vendredi 29 octobre 2010

Sans voiture pendant un jour

(2)Une journée sans voiture vise à expérimenter dans le monde une journée de fermeture de la ville aux voitures. Cette journée est pour les piétons, les cyclistes et les transports en commun l'occasion de s'approprier l'espace urbain.
Initialement fixées au 22 septembre au niveau européen, les journées sans voiture font à présent partie d'une initiative plus large appelée Semaine de la mobilité.
Les premières expériences de journées sans voiture remontent à 1956, lorsque la crise de Suez force certains pays à prendre des mesures drastiques pour économiser du carburant. En Belgique, aux Pays-Bas et en Suisse, celles-ci prendront la forme de dimanches sans voiture entre novembre 1956 et janvier 1957. Ces opérations seront répétées en Suisse et en Belgique en . à l'occasion de la crise pétrolière.
La première manifestation officielle moderne eut lieu en juin 1996 à Reykjavík en Islande. Les autorités y avaient organisé une journée sans voiture pour encourager les habitants à une mobilité plus propre, moins consommatrice d'énergie et moins dangereuse.
En France, c'est La Rochelle qui fut la première, le 9 septembre 1997, à réserver son centre-ville aux piétons, rollers, vélos, tandems, planches à roulettes etc.
Depuis 1998, un nombre croissant de villes y ont adhéré (avec un nombre maximal de près de 1500 villes en 2005). En 2006, le nombre total a diminué, tout en impliquant de nouvelles villes participantes.
L'initiative fut officiellement lancée à échelle européenne en 1998, inscrite dans une Semaine de la mobilité qui présente une thématique différente chaque année (par exemple le changement climatique en 2006). L'idée de situer cette journée à date fixe, le 22 septembre semble souvent céder devant les difficultés à l'organiser un jour de semaine dans les grandes villes.
Les objectifs principaux de la journée mondiale sans voiture sont les suivants :(1)

o encourager les comportements compatibles avec le développement durable et plus particulièrement la protection de la qualité de l'air, la réduction du réchauffement planétaire et de la pollution sonore
o améliorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualité de l'environnement
o offrir la possibilité aux citoyens de marcher, faire du vélo, prendre les transports collectifs au lieu d'utiliser seuls leurs véhicules privés et promouvoir l'intermodalité
o donner aux gens la possibilité de redécouvrir leur ville ou leur village, leurs concitoyens et leur patrimoine commun dans un environnement plus sain et plus agréable

Ces manifestations devraient également servir de tremplins à des initiatives pilotes à long terme visant à améliorer la sensibilisation du grand public à la pollution, au bruit et aux embouteillages dus à une sur-dépendance de la voiture pour les déplacements en ville.

Certains pays ou villes, comme Bruxelles ou Anvers en Belgique organisent cette journée le samedi ou le dimanche précédant le 22 septembre. L'interdiction de circuler est alors totale pour les véhicules à moteur dans un périmètre très étendu (161km² pour Bruxelles) : seuls les transports en commun (gratuits ce jour-là), les taxis, les véhicules de secours et les voitures dont les conducteurs sont munis d'une dérogation peuvent y circuler.

Bibliographie nº 1 :
Titre : Journée internationale sans voitures
Auteur : La pause lecture
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm


Bibliographie nº 2 :
Titre : Journée sans voiture
Auteur : Wikipédia
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture


Bibliographie de la photo :
Titre : Journée monidale sans voiture
Consultation : 9/10/10
Disponible : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://www.ptitvelo.net/IMG/png/Auto_dessous_velo_dessus.png&imgrefurl=http://www.ptitvelo.net/Les-journees-mondiales-sans.html&usg=__TP71ZuIjK3lOrOINWCoWa9kTgIg=&h=145&w=139&sz=13&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=nNRVU-j_JRoFYM:&tbnh=116&tbnw=111&prev=/images%3Fq%3Djourn%25C3%25A9e%2Bmondiale%2Bsans%2Bvoiture%26um%3D1%26hl%3Des%26sa%3DN%26rlz%3D1R2GGLL_es%26biw%3D1259%26bih%3D839%26tbs%3Disch:1&um=1&itbs=1&iact=rc&dur=203&ei=4MbKTKDeB4a1tAap6-WnAQ&oei=4MbKTKDeB4a1tAap6-WnAQ&esq=1&page=1&ndsp=33&ved=1t:429,r:2,s:0&tx=68&ty=87

Journée mondiale sans voiture


Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !" ? (1)

Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé
en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.

La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :

En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.

Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.

Dans une journée sans voiture ,(2)
→ il n’y a pas seulement l’expression d’un refus de la pollution et de l’agression permanente que représente la circulation automobile.
→ Il y a aussi une réflexion sur la place des personnes , hommes, femmes, enfants, dans la ville.
→ Il y a , oui, oui, de l’imagination et de l’amusement : cela peut devenir un défilié de moyens de locomotion burlesques, colorés, musicaux, ou tout cela à la fois … une bouffée d’oxygène , un sourire, des regards complices.
Pourquoi se priver ce ça ?


Bibliographie nº1 :
Titre : 22 septembre : Journée Mondiale sans voiture
Auteur : Journée Mondiale
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

Bibliographie nº2 :
Titre : 22 septembre, journée mondiale "SANS VOITURE"
Auteur : Zidées de Mars
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://www.zideesdemars.com/spip.php?article207

Bibliographie de la photo :
Titre : Journée moniale sans voiture
Consultation : 29/10/10
Disponible : https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhy9DxogGziMiwun40bapS64nEWEvsCGavj8HArh5YLOplv1tFGougPw2eCSVf3LhBOOGNlKSDX53fai9ngMplgjlXm2CbEs574WzWXZ7mLuaBEE2mrNvypXq8ok1OV56Wr-NbIlIJcJjM/s320/voiture.gif

vendredi 15 octobre 2010

Nourrir le monde, éliminer la faim

Selon les estimations, la population mondiale devrait atteindre 9,1 milliards d’habitants au milieu du siècle actuel, soit une augmentation de 34% par rapport à aujourd’hui. La plus grande partie de cet accroissement se produira dans les pays en voie de développement.Près de 70 % de la population mondiale sera urbaine . Afin de nourrir cette population plus importante, plus urbaine , la production alimentaire (sans compter les produits alimentaires utilisés pour la fabrication de biocarburants liquides) doit augmenter d’environ 70 %.

Bien qu’il s’agisse d’une tâche énorme, on peut parvenir à un accroissement nécessaire de la production alimentaire pour répondre aux besoins futurs. Mais pour y parvenir, il est vital que des efforts considérables soient déployés pour protéger, conserver et mettre en valeur les ressources naturelles qui serviront de moteur à la croissance requise de la production alimentaire. Compte tenu de leurs rendements très élevés, il est regrettable que ces investissements aient diminué dans de nombreux pays en développement.

La forte hausse des prix des produits alimentaires qui s’est produite au cours de ces dernières années et l’augmentation concomitante du nombre de personnes souffrant de la faim et de la malnutrition ont mis en évidence la fragilité du système alimentaire mondial et la vulnérabilité de la sécurité alimentaire. Ce constat doit se traduire par des actions efficaces pour que le système soit plus résilient vis-à-vis des facteurs de risque et pour garantir que la population mondiale croissante sera capable d’accéder à une nourriture suffisante, aujourd’hui et à l’avenir.

À l’avenir, la croissance de la demande alimentaire dépendra de l’effet combiné d’un ralentissement de la croissance démographique, d’une croissance forte et continue des revenus et de l’urbanisation de nombreux pays en développement et des modifications connexes de la structure des régimes alimentaires, ainsi que d’une saturation alimentaire progressive dans de nombreux pays en développement, comme cela est déjà le cas dans les pays développés. Globalement, le taux de croissance de la demande sera très inférieur à celui des décennies antérieures. D’ici à 2050, la demande mondiale de denrées alimentaires devrait être de 70% supérieure à ce qu’elle est actuellement, ce qui représente une consommation annuelle supplémentaire de près d’un milliard de tonnes de céréales pour l’alimentation humaine et animale et de 200 millions de tonnes de viande.

Bien que la production alimentaire soit suffisante pour nourrir l’ensemble de la population mondiale, la terre compte encore quelques 840 millions de personnes sous-alimentées, dont 799 millions vivent dans les pays en développement .Les données indiquent que le nombre de personnes affamées a diminué de 2,5 millions par an depuis 1992. A ce rythme, les objectifs du Sommet mondial seront remplis avec plus de cent ans de retard. Il faudrait, pour atteindre le but fixé d’ici 2015, que la diminution annuelle du nombre de personnes affamées décuple et s’élève à 24 millions.Donc, nous y examinons les moyens de mesurer les progrès de l'humanité en nous servant de l'agriculture comme indicateur de la santé de la planète et nous y laissons entendre que les méthodes actuelles servant à évaluer les perspectives des disponibilités alimentaires du monde sont insuffisantes.

Bibliographie nº1:
Titre: Soulager la faim dans le monde
Auteur : Sonya Dakers
Consultation : 10/04/10

Bibliographie nº2 :
Titre : Nourrir le monde, éliminer la faim.
Auteur : FAO
Consultation : 10/04/10

Bibliographie nº3 :
Titre : Déverrouiller le potentiel de l'eau en agriculture...
Auteur: Département du développement durable
Consultation : 09/04/10
Disponible :
www.fao.org/docrep/005/Y4525F/y4525f04.htm


Bibliographie de la photo:
Titre: Faim dans le monde
Consultation: 14/10/10



La faim dans le monde et la malnutrition

Pour être actif et en bonne santé, nous devons disposer d'une nourriture adéquate en quantité, qualité et variété permettant de répondre à nos besoins énergétiques et nutritionnels. Sans une nutrition adéquate, les enfants ne pourront développer tout leur potentiel et les adultes rencontreront des difficultés à conserver ou élargir le leur.

De nombreuses personnes ne peuvent accéder comme il le faudrait à la nourriture dont elles ont besoin, avec comme conséquence des situations de faim et de malnutrition à grande échelle dans le monde.

Aujourd'hui, presque 800 millions de personnes souffrent de sous-alimentation chronique et la nourriture dont elles disposent n'est même pas suffisante pour répondre aux besoins énergétiques minimum.

La sous-alimentation ou sous-nutrition est un état de manque important de nourriture caractérisé par un apport alimentaire insuffisant pour combler les dépenses énergétiques journalières d'un individu et entraînant des carences nutritionnelles.

La malnutrition est une des causes principales d'insuffisance pondérale à la naissance et de troubles de la croissance. Les enfants qui survivent à un faible poids de naissance risquent de subir des retards de croissance et de souffrir de maladies pendant l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte.

Tout d'abord, il faut savoir que plus de 800 millions de personnes sont sous-alimentées dans le monde, c'est-à-dire environ 13%, ce qui peut avoir de graves conséquences. Pour supprimer totalement la sous-nutrition, il faudrait que tous les pays soient en état de sécurité alimentaire. Une population est dite en sécurité alimentaire dès qu'elle est assurée d'un accès permanent à une nourriture saine et nutritive.

On dit qu'on est atteint de sous-nutrition quand la quantité de nourriture est inférieure à 2100 kilocalories par jour. Nous voyons que la moyenne des pays pauvres se trouve juste à la limite, certaines personnes sont donc bien en dessous de cette moyenne et beaucoup de pays ne sont sûrement pas en état de sécurité alimentaire.

La meilleure solution, mais longue à mettre en place, est le développement durable. En effet si les pays pauvres arrivaient à atteindre l'autosuffisance alimentaire, les problèmes de sous-nutrition seraient largement réduits. Il faut puiser dans les ressources locales, de cette manière les habitants auraient plus de nourriture à leur disposition, bien sûr les repas ne pourraient pas être très variés ni équilibrés, mais la population aurait moins faim. Il ne resterait ensuite "qu'à régler" le problème de la malnutrition. Le but recherché est que les pays pauvres se suffisent à eux-mêmes.

Bibliographie nº1:
Auteur: Marion Cuisnier, Romain Véron, Nicolas Gouard
Consultation: 13/10/10

Bibliographie nº2:
Auteur: wikipedia
Consultation: 13/10/10

Bibliographie photo:
Auteur: Rapport de l’Unicef
Consultation: 14/10/10


vendredi 8 octobre 2010

Il est devenu urgent d'agir

Le développement durable est une nouvelle conception de l'intérêt public, appliquée à la croissance économique et reconsidérée à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects environnementaux généraux d'une planète globalisée.
La Terre, notre planète, va mal, et c’est de notre faute.
Les habitants des pays riches, comme la France, consomment et gaspillent énormément.
Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin. Consommer toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante… Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence à être saturé…Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ?En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable.
Bibliographie nº1 :
Auteur : Anne Jankéliowitch
Consultation : 23/09/10
Bibliographie nº2 :
Auteur : wikipedia
Consultation : 23/09/10
Bibliographie de la photo:
Auteur : Simple green action
Consultation : 23/09/10

jeudi 23 septembre 2010

Le Développement Durable

Les habitants des pays riches, comme la France, consomment et gaspillent énormément. Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin. Consommer toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante… Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence à être saturé… (nº2)
Face à l'urgence de la crise écologique et sociale qui se manifeste désormais de manière mondialisée (changement climatique, raréfaction des ressources naturelles avec en particulier le rapprochement du pic pétrolier, écarts entre pays développés et pays en développement, sécurité alimentaire, perte drastique de biodiversité, croissance de la population mondiale, catastrophes naturelles et industrielles), le développement durable est une réponse de tous les acteurs (États, acteurs économiques, société civile) pour reconsidérer la croissance économique à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects environnementaux, culturels et sociaux du développement. (nº1)
Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus. (nº2)
Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins ! (nº2)
Or, nous n’avons pas de planète de rechange. Alors, comment améliorer les conditions de vie de tous les citoyens du monde sans épuiser définitivement la Terre ? Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ? (nº2)
En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable. Ce n’est pas un retour en arrière, mais un progrès pour l’humanité : celui de consommer non pas moins, mais mieux. Il est devenu urgent d’agir. Nous en avons tous les moyens. Et surtout, le devoir. (nº2)
Bibliographie nº 1 :
Auteur : Wikipédia
Titre : Développement durable
Consultation : 22/09/10
Bibliographie nº2 :
Auteur : Anne Jankéliowitch
Titre : Le Développement Durable, pourquoi ?
Consultation : 22/09/10
Bibliographie de la photo :
Titre : développement durable
Consultation : 23/09/10