vendredi 29 octobre 2010

Sans voiture pendant un jour

(2)Une journée sans voiture vise à expérimenter dans le monde une journée de fermeture de la ville aux voitures. Cette journée est pour les piétons, les cyclistes et les transports en commun l'occasion de s'approprier l'espace urbain.
Initialement fixées au 22 septembre au niveau européen, les journées sans voiture font à présent partie d'une initiative plus large appelée Semaine de la mobilité.
Les premières expériences de journées sans voiture remontent à 1956, lorsque la crise de Suez force certains pays à prendre des mesures drastiques pour économiser du carburant. En Belgique, aux Pays-Bas et en Suisse, celles-ci prendront la forme de dimanches sans voiture entre novembre 1956 et janvier 1957. Ces opérations seront répétées en Suisse et en Belgique en . à l'occasion de la crise pétrolière.
La première manifestation officielle moderne eut lieu en juin 1996 à Reykjavík en Islande. Les autorités y avaient organisé une journée sans voiture pour encourager les habitants à une mobilité plus propre, moins consommatrice d'énergie et moins dangereuse.
En France, c'est La Rochelle qui fut la première, le 9 septembre 1997, à réserver son centre-ville aux piétons, rollers, vélos, tandems, planches à roulettes etc.
Depuis 1998, un nombre croissant de villes y ont adhéré (avec un nombre maximal de près de 1500 villes en 2005). En 2006, le nombre total a diminué, tout en impliquant de nouvelles villes participantes.
L'initiative fut officiellement lancée à échelle européenne en 1998, inscrite dans une Semaine de la mobilité qui présente une thématique différente chaque année (par exemple le changement climatique en 2006). L'idée de situer cette journée à date fixe, le 22 septembre semble souvent céder devant les difficultés à l'organiser un jour de semaine dans les grandes villes.
Les objectifs principaux de la journée mondiale sans voiture sont les suivants :(1)

o encourager les comportements compatibles avec le développement durable et plus particulièrement la protection de la qualité de l'air, la réduction du réchauffement planétaire et de la pollution sonore
o améliorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualité de l'environnement
o offrir la possibilité aux citoyens de marcher, faire du vélo, prendre les transports collectifs au lieu d'utiliser seuls leurs véhicules privés et promouvoir l'intermodalité
o donner aux gens la possibilité de redécouvrir leur ville ou leur village, leurs concitoyens et leur patrimoine commun dans un environnement plus sain et plus agréable

Ces manifestations devraient également servir de tremplins à des initiatives pilotes à long terme visant à améliorer la sensibilisation du grand public à la pollution, au bruit et aux embouteillages dus à une sur-dépendance de la voiture pour les déplacements en ville.

Certains pays ou villes, comme Bruxelles ou Anvers en Belgique organisent cette journée le samedi ou le dimanche précédant le 22 septembre. L'interdiction de circuler est alors totale pour les véhicules à moteur dans un périmètre très étendu (161km² pour Bruxelles) : seuls les transports en commun (gratuits ce jour-là), les taxis, les véhicules de secours et les voitures dont les conducteurs sont munis d'une dérogation peuvent y circuler.

Bibliographie nº 1 :
Titre : Journée internationale sans voitures
Auteur : La pause lecture
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm


Bibliographie nº 2 :
Titre : Journée sans voiture
Auteur : Wikipédia
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture


Bibliographie de la photo :
Titre : Journée monidale sans voiture
Consultation : 9/10/10
Disponible : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://www.ptitvelo.net/IMG/png/Auto_dessous_velo_dessus.png&imgrefurl=http://www.ptitvelo.net/Les-journees-mondiales-sans.html&usg=__TP71ZuIjK3lOrOINWCoWa9kTgIg=&h=145&w=139&sz=13&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=nNRVU-j_JRoFYM:&tbnh=116&tbnw=111&prev=/images%3Fq%3Djourn%25C3%25A9e%2Bmondiale%2Bsans%2Bvoiture%26um%3D1%26hl%3Des%26sa%3DN%26rlz%3D1R2GGLL_es%26biw%3D1259%26bih%3D839%26tbs%3Disch:1&um=1&itbs=1&iact=rc&dur=203&ei=4MbKTKDeB4a1tAap6-WnAQ&oei=4MbKTKDeB4a1tAap6-WnAQ&esq=1&page=1&ndsp=33&ved=1t:429,r:2,s:0&tx=68&ty=87

Journée mondiale sans voiture


Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !" ? (1)

Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé
en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.

La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :

En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.

Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.

Dans une journée sans voiture ,(2)
→ il n’y a pas seulement l’expression d’un refus de la pollution et de l’agression permanente que représente la circulation automobile.
→ Il y a aussi une réflexion sur la place des personnes , hommes, femmes, enfants, dans la ville.
→ Il y a , oui, oui, de l’imagination et de l’amusement : cela peut devenir un défilié de moyens de locomotion burlesques, colorés, musicaux, ou tout cela à la fois … une bouffée d’oxygène , un sourire, des regards complices.
Pourquoi se priver ce ça ?


Bibliographie nº1 :
Titre : 22 septembre : Journée Mondiale sans voiture
Auteur : Journée Mondiale
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

Bibliographie nº2 :
Titre : 22 septembre, journée mondiale "SANS VOITURE"
Auteur : Zidées de Mars
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://www.zideesdemars.com/spip.php?article207

Bibliographie de la photo :
Titre : Journée moniale sans voiture
Consultation : 29/10/10
Disponible : https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhy9DxogGziMiwun40bapS64nEWEvsCGavj8HArh5YLOplv1tFGougPw2eCSVf3LhBOOGNlKSDX53fai9ngMplgjlXm2CbEs574WzWXZ7mLuaBEE2mrNvypXq8ok1OV56Wr-NbIlIJcJjM/s320/voiture.gif

vendredi 15 octobre 2010

Nourrir le monde, éliminer la faim

Selon les estimations, la population mondiale devrait atteindre 9,1 milliards d’habitants au milieu du siècle actuel, soit une augmentation de 34% par rapport à aujourd’hui. La plus grande partie de cet accroissement se produira dans les pays en voie de développement.Près de 70 % de la population mondiale sera urbaine . Afin de nourrir cette population plus importante, plus urbaine , la production alimentaire (sans compter les produits alimentaires utilisés pour la fabrication de biocarburants liquides) doit augmenter d’environ 70 %.

Bien qu’il s’agisse d’une tâche énorme, on peut parvenir à un accroissement nécessaire de la production alimentaire pour répondre aux besoins futurs. Mais pour y parvenir, il est vital que des efforts considérables soient déployés pour protéger, conserver et mettre en valeur les ressources naturelles qui serviront de moteur à la croissance requise de la production alimentaire. Compte tenu de leurs rendements très élevés, il est regrettable que ces investissements aient diminué dans de nombreux pays en développement.

La forte hausse des prix des produits alimentaires qui s’est produite au cours de ces dernières années et l’augmentation concomitante du nombre de personnes souffrant de la faim et de la malnutrition ont mis en évidence la fragilité du système alimentaire mondial et la vulnérabilité de la sécurité alimentaire. Ce constat doit se traduire par des actions efficaces pour que le système soit plus résilient vis-à-vis des facteurs de risque et pour garantir que la population mondiale croissante sera capable d’accéder à une nourriture suffisante, aujourd’hui et à l’avenir.

À l’avenir, la croissance de la demande alimentaire dépendra de l’effet combiné d’un ralentissement de la croissance démographique, d’une croissance forte et continue des revenus et de l’urbanisation de nombreux pays en développement et des modifications connexes de la structure des régimes alimentaires, ainsi que d’une saturation alimentaire progressive dans de nombreux pays en développement, comme cela est déjà le cas dans les pays développés. Globalement, le taux de croissance de la demande sera très inférieur à celui des décennies antérieures. D’ici à 2050, la demande mondiale de denrées alimentaires devrait être de 70% supérieure à ce qu’elle est actuellement, ce qui représente une consommation annuelle supplémentaire de près d’un milliard de tonnes de céréales pour l’alimentation humaine et animale et de 200 millions de tonnes de viande.

Bien que la production alimentaire soit suffisante pour nourrir l’ensemble de la population mondiale, la terre compte encore quelques 840 millions de personnes sous-alimentées, dont 799 millions vivent dans les pays en développement .Les données indiquent que le nombre de personnes affamées a diminué de 2,5 millions par an depuis 1992. A ce rythme, les objectifs du Sommet mondial seront remplis avec plus de cent ans de retard. Il faudrait, pour atteindre le but fixé d’ici 2015, que la diminution annuelle du nombre de personnes affamées décuple et s’élève à 24 millions.Donc, nous y examinons les moyens de mesurer les progrès de l'humanité en nous servant de l'agriculture comme indicateur de la santé de la planète et nous y laissons entendre que les méthodes actuelles servant à évaluer les perspectives des disponibilités alimentaires du monde sont insuffisantes.

Bibliographie nº1:
Titre: Soulager la faim dans le monde
Auteur : Sonya Dakers
Consultation : 10/04/10

Bibliographie nº2 :
Titre : Nourrir le monde, éliminer la faim.
Auteur : FAO
Consultation : 10/04/10

Bibliographie nº3 :
Titre : Déverrouiller le potentiel de l'eau en agriculture...
Auteur: Département du développement durable
Consultation : 09/04/10
Disponible :
www.fao.org/docrep/005/Y4525F/y4525f04.htm


Bibliographie de la photo:
Titre: Faim dans le monde
Consultation: 14/10/10



La faim dans le monde et la malnutrition

Pour être actif et en bonne santé, nous devons disposer d'une nourriture adéquate en quantité, qualité et variété permettant de répondre à nos besoins énergétiques et nutritionnels. Sans une nutrition adéquate, les enfants ne pourront développer tout leur potentiel et les adultes rencontreront des difficultés à conserver ou élargir le leur.

De nombreuses personnes ne peuvent accéder comme il le faudrait à la nourriture dont elles ont besoin, avec comme conséquence des situations de faim et de malnutrition à grande échelle dans le monde.

Aujourd'hui, presque 800 millions de personnes souffrent de sous-alimentation chronique et la nourriture dont elles disposent n'est même pas suffisante pour répondre aux besoins énergétiques minimum.

La sous-alimentation ou sous-nutrition est un état de manque important de nourriture caractérisé par un apport alimentaire insuffisant pour combler les dépenses énergétiques journalières d'un individu et entraînant des carences nutritionnelles.

La malnutrition est une des causes principales d'insuffisance pondérale à la naissance et de troubles de la croissance. Les enfants qui survivent à un faible poids de naissance risquent de subir des retards de croissance et de souffrir de maladies pendant l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte.

Tout d'abord, il faut savoir que plus de 800 millions de personnes sont sous-alimentées dans le monde, c'est-à-dire environ 13%, ce qui peut avoir de graves conséquences. Pour supprimer totalement la sous-nutrition, il faudrait que tous les pays soient en état de sécurité alimentaire. Une population est dite en sécurité alimentaire dès qu'elle est assurée d'un accès permanent à une nourriture saine et nutritive.

On dit qu'on est atteint de sous-nutrition quand la quantité de nourriture est inférieure à 2100 kilocalories par jour. Nous voyons que la moyenne des pays pauvres se trouve juste à la limite, certaines personnes sont donc bien en dessous de cette moyenne et beaucoup de pays ne sont sûrement pas en état de sécurité alimentaire.

La meilleure solution, mais longue à mettre en place, est le développement durable. En effet si les pays pauvres arrivaient à atteindre l'autosuffisance alimentaire, les problèmes de sous-nutrition seraient largement réduits. Il faut puiser dans les ressources locales, de cette manière les habitants auraient plus de nourriture à leur disposition, bien sûr les repas ne pourraient pas être très variés ni équilibrés, mais la population aurait moins faim. Il ne resterait ensuite "qu'à régler" le problème de la malnutrition. Le but recherché est que les pays pauvres se suffisent à eux-mêmes.

Bibliographie nº1:
Auteur: Marion Cuisnier, Romain Véron, Nicolas Gouard
Consultation: 13/10/10

Bibliographie nº2:
Auteur: wikipedia
Consultation: 13/10/10

Bibliographie photo:
Auteur: Rapport de l’Unicef
Consultation: 14/10/10


vendredi 8 octobre 2010

Il est devenu urgent d'agir

Le développement durable est une nouvelle conception de l'intérêt public, appliquée à la croissance économique et reconsidérée à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects environnementaux généraux d'une planète globalisée.
La Terre, notre planète, va mal, et c’est de notre faute.
Les habitants des pays riches, comme la France, consomment et gaspillent énormément.
Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin. Consommer toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante… Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence à être saturé…Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ?En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable.
Bibliographie nº1 :
Auteur : Anne Jankéliowitch
Consultation : 23/09/10
Bibliographie nº2 :
Auteur : wikipedia
Consultation : 23/09/10
Bibliographie de la photo:
Auteur : Simple green action
Consultation : 23/09/10